Dans les études supérieures et d’autant plus les classes préparatoires, il est courant pour les étudiants de ressentir du stress et de l’anxiété, du fait des changements occasionnés par le rythme serré des révisions, la pression des professeurs, les évaluations et les classements, la charge de travail soutenue quotidienne, et les concours à venir. D’autant plus que les étudiants mettent bien souvent entre parenthèse une partie de leur vie sociale, amoureuse ou familiale et ont moins l’occasion de se divertir.

Même si le stress peut se révéler bénéfique et influer comme un moteur de réussite. Il existe un palier à partir duquel il ne s’agit plus de stress mais d’angoisse avec son panel de symptômes

Après la perte, le décès d’un être cher, que ce soit le conjoint, le parent, l’enfant ou même un animal de compagnie, chacun est supposé traverser des phases de deuil pour venir à bout de sa peine et faire en sorte qu’elle soit supportable au quotidien. Ces étapes sont des traversées émotionnelles qui vont du déni suite au choc émotionnel, en passant par la colère, la tristesse, la dépression, la résignation et enfin l’acceptation et au désir de vouloir poursuivre sa vie malgré la peine.

Pourtant il n’en est pas toujours ainsi, chaque deuil est un temps particulièrement difficile à affronter et unique à chacun. Certaines personnes éprouvent une douleur vive, intense, qui perdure. L’évocation de la perte de l’être aimé les replonge dans un abyme de tristesse et ce même cinq ou quinze ans après le drame.  Elles sont dans le regret, une tristesse constante, des difficultés à dormir, une plainte immodérée.  D’autres au contraire refusent de regarder du côté de cette douleur, de « la nourrir » et se lancent hardiment dans des projets, surinvestissent leur travail, la vie avec les enfants, les activités. Il s’agit de retrouver un bonheur au plus vite, à tout prix...

La phagophobie est la peur et l’évitement de l’acte d’avaler, la phobie de déglutition. Le patient craint de s’étouffer avec des aliments liquides ou solides.

Comment se débarrasser de cette phobie? Comment vaincre la peur d'avaler ?

La psychothérapie est un moyen efficace pour lutter contre la dépression.

La dépression est un trouble de l'humeur qui se caractérise par un état de tristesse durable et quotidien. Le patient se sent seul, désespéré, s'isole, n'a plus d’intérêt pour ses activités ou son entourage. Il se sent fatigué, les pleurs peuvent être fréquent...

Comment soigner les symptômes organiques de l'angoisse ? Débuter une psychothérapie pour soigner les troubles anxieux ? Consulter un psychologue pour des palpitations, des tremblements, une transpiration, une sensation d’étouffement, d'oppression, un malaise dans le thorax, un mal au cœur, des vertiges, des frissons, la peur de mourir...

Il peut s'agir de rapports conflictuels ( agressivité, jalousie, sentiment d’infériorité) ou de rapports de victimisation (la personne a non seulement, le sentiment de subir une situation mais rencontre aussi des difficultés à réagir ( ne pas savoir dire non, toujours se rendre disponible, manquer de confiance en soi, avoir besoin de temps pour soi sans oser s'en accorder, relation qui étouffe, sentiment d’être harcelé)...

Un défaut d’assurance en soi  est souvent mis en avant, par des patients, comme frein dans leurs relations professionnelles, sociales, amoureuses. La personne dit ne pas trouver sa place au sein de son univers professionnel, rencontre  des difficultés à s’affirmer, a des doutes, n’ose pas prendre d’initiatives et/ou se dévalorise. Alors qu’elle souhaite pouvoir « sortir des clous », se démarquer,  elle ne sait pas vraiment comment agir.

Pourquoi se faire un tatouage ? Que faire face à une crise d'angoisse après un tatouage? Pourquoi faire une psychothérapie après un tatouage ? Quel est le sens symbolique de ce marquage corporel ? S'agit-il seulement d'un embellissement, un moyen de divulguer un message, de symboliser un fait important? Le tatouage est-il une provocation ou une façon de tenir l'autre à distance ? ...Et quand vient le temps du détatouage...

En psychothérapie, le sujet s’expose à son désir et à sa résistance. Comment le clinicien fait-il face à ce paradoxe du dire du patient : ne plus souffrir et ne pas être soulagé ?

Le sentiment de culpabilité inconscient est à l’origine de symptômes et de conduites d’échecs répétitives pour des patients. Il est lié à une difficulté de l’être à résoudre son complexe d’Œdipe, c’est-à-dire à renoncer à ses désirs œdipiens amoureux et hostiles. La cure permet de se dépouiller des identifications imaginaires et d’apaiser la résistance du surmoi.

Le désir de la mère envers son enfant est lié à la façon dont la mère a traversé son Œdipe et s’est structurée. Selon la structure de l’être, son désir peut prendre différents supports que ce soient les fantasmes, les hallucinations ou le délire. Un cas clinique vient interroger cette délicate question du fantasme chez le psychotique.

Les symptômes gynécologiques, les difficultés sexuelles peuvent avoir pour origine du stress,  de l'angoisse aussi bien chez l'homme que la femme.

Trouver un psy en urgence

Le Service d’Ecoute Téléphonique d’Urgence  SETU? 01.45.26.81.30 est accessible 24h/24h -7J/7

Le téléphone a longtemps eu mauvaise presse auprès des psychanalystes. La cure ne pouvait se dérouler qu’en présence du patient et du psychothérapeute au cabinet. Mais le confinement a eu raison des réticences en imposant un autre cadre. Pour ma part, je n'ai pas attendu cet évènement pour inscrire la pratique de la psychothérapie par téléphone dans ma clinique. La cure peut avancer par cette voie.

Dans quel cadre les séances de psychothérapie peuvent se dérouler par téléphone ?

Quels avantages y a t-il à consulter un psy par téléphone ? Pourquoi débuter une psychothérapie par téléphone ?

La question du droit à la maternité prend de plus en plus d’ampleur ces dernières années et les démarches pour y accéder se développent. Au-delà de l’autorisation de la médecine actuelle, le désir d’être mère et/ou d’avoir un enfant est souvent brandi de façon catégorique et nombre de femmes tentent d’y accéder. Outre les recours aux PMA à l’étranger avec choix du profil du donneur sur catalogue, les « inséminations maison » croissent. Hors toute intention moralisatrice, peut-être pouvons-nous examiner quel désir inconscient se camoufle derrière la démarche ? Quel est donc cet enfant désiré ? De quoi est-il porteur ?